2 semaines après la fête, le marché à Antananarivo-Renivohitra n’est pas totalement assaini. On trouve toujours des marchands ambulants occupant les trottoirs et les places publiques. A Tsaralalàna, à Analakely, à Antaninarenina, ils sont rois. Sur l’escalier d’Antaninarenina, la friperie prend place.
Toutefois, par rapport à la période des fêtes, les marchands sont moins nombreux. La CUA (Commune urbaine d’Antannarivo) a déjà commencé le nettoyage afin que la capitale retrouve son vrai visage. En dehors d’une dérogation spéciale, la vente sur les trottoirs est encore interdite à Antananarivo-Renivohitra.
Certes, pour éviter la tension sociale, les autorités municipales préfèrent ne pas appliquer à la lettre la loi. D’ailleurs, la plupart n’ont pas encore reçu le décret de nomination officiel à leurs postes. Ce qui les empêcherait d’agir fermément. Mais jusqu’à quand ?
Herimanda.R
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