jeudi 31 janvier 2008
Le combat d’arrière-garde des conseillers TIM
La prise de position des conseillers TGV prend à contre-pied celle des conseillers TIM qui sont sortis de la salle de réunion « pour ne pas être taxé de complicité » dans ce qu’ils qualifient de transgression flagrante des textes. Néanmoins, au regard des déclarations faites par le président du conseil, Ramarofidy Jeanel, les conseillers TGV n’ont commis aucune infraction étant donné qu’il n’ont rien changé aux textes. Au contraire, leur suggestion s’applique sur l’article 10 du décret qui dit explicitement que ledit décret peut être amendé par voie d’arrêté. Les conseillers TIM auraient plutôt fait preuve de combat d’arrière-garde devant la majorité. Dans l’incapacité de contrer la volonté de la majorité, ces derniers se sont repliés sous le couvert de ce qu’ils qualifient de « respect de la légalité ». Un respect de la légalité que leur adversaire au sein du TGV ont pris à leur compte en se basant uniquement sur la législation en vigueur. Espérons que les conseillers TIM seront maintenant conscients qu’il est ardu, voire impossible de faire prévaloir ses idées, si bonnes soient -elles, quand on est minoritaire. Comme l’aurait dit l’Amiral Ratsiraka, « nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes ».
Randria.N
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