Lu sur L'Express de Madagascar le 11/03/2008, par Fanja Saholiarisoa
La Commune urbaine d'Antananarivo relance le dialogue avec les entrepreneurs pour la réhabilitation d’ugence des EPP actuellement en piteux état.
L'équipe du maire Andry Rajoelina réagit. La Commune urbaine d'Antananarivo va payer les travaux d'urgence des écoles primaires publiques (EPP) délabrées. «Il est question d'assurer la scolarisation des élèves concernés et de leur permettre de revenir à l'école», a souligné Andry Rajoelina inquiet de la situation.
«La réfection débutera bientôt. Actuellement, nous sommes sur le point d'évaluer le coût des travaux», ajoute Olga Rasamimanana, adjoint au maire chargé des affaires économiques, des infrastructures et de l'urbanisme au sein de la Commune urbaine.
Dialogue
Mais des contraintes majeures perturbent la commune. Beaucoup d'entrepreneurs attendent d'être payés. «Nous détenons une longue liste qui doit être étudiée ligne par ligne», explique Michèle Ratsivalaka, adjoint au maire chargé des affaires sociales.
«Le contrat de marché n'est pas encore clair. Plusieurs entrepreneurs ont fait le contrat dans les règles. Ils seront payés. Quant à ceux qui ne s'y sont pas conformés, nous ne pourrons rien faire pour eux», souligne le directeur administratif et financier de la commune.
Mais la commune urbaine entend relancer le dialogue avec les entrepreneurs régularisés. «Des entrevues sont prévues à partir de ce jour pour discuter des contraintes sur la passation de marché 2007», ajoute-t-il.
La Commune urbaine d'Antananarivo relance le dialogue avec les entrepreneurs pour la réhabilitation d’ugence des EPP actuellement en piteux état.
L'équipe du maire Andry Rajoelina réagit. La Commune urbaine d'Antananarivo va payer les travaux d'urgence des écoles primaires publiques (EPP) délabrées. «Il est question d'assurer la scolarisation des élèves concernés et de leur permettre de revenir à l'école», a souligné Andry Rajoelina inquiet de la situation.
«La réfection débutera bientôt. Actuellement, nous sommes sur le point d'évaluer le coût des travaux», ajoute Olga Rasamimanana, adjoint au maire chargé des affaires économiques, des infrastructures et de l'urbanisme au sein de la Commune urbaine.
Dialogue
Mais des contraintes majeures perturbent la commune. Beaucoup d'entrepreneurs attendent d'être payés. «Nous détenons une longue liste qui doit être étudiée ligne par ligne», explique Michèle Ratsivalaka, adjoint au maire chargé des affaires sociales.
«Le contrat de marché n'est pas encore clair. Plusieurs entrepreneurs ont fait le contrat dans les règles. Ils seront payés. Quant à ceux qui ne s'y sont pas conformés, nous ne pourrons rien faire pour eux», souligne le directeur administratif et financier de la commune.
Mais la commune urbaine entend relancer le dialogue avec les entrepreneurs régularisés. «Des entrevues sont prévues à partir de ce jour pour discuter des contraintes sur la passation de marché 2007», ajoute-t-il.
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